J'ai lu La femme du loup gris à l'automne dernier. C'est un conte merveilleux que l'on raconte en Bretagne.
C'était il y a très, très, très longtemps, si longtemps qu'on ne sait plus bien quand.
"Je ne cesserai de marcher ni de jour, ni de nuit tant que je ne l'aurai pas retrouvé, dussé-je aller au bout du monde..."
Alors, Luduennic partit à la recherche du loup, son époux, réfugié en haut de la Montagne de Cristal, par-delà la Mer Bleue, par-delà la Mer Rouge.
J'ai été touchée par ce conte et j'aimerais le mettre en scène. Je le connais bien maintenant. Mais, il faudrait que je trouve un ou deux musiciens pour m'accompagner. Je sais quel genre de mélodies conviendraient, hélas, je ne suis ni musicienne ni chanteuse... Et puis, ce serait un travail de longue haleine, pour le mettre en place, je n'en ai pas le temps pour l'instant !
Le spectacle que j'imagine durerait une heure quinze. C'est un projet que j'espère réaliser lorsque je serai à la retraite puisque
" C'est en disant qu'on devient conteur : c'est en dix ans. Guère avant.
En attendant, on se prépare, on s'entraîne, on apprend, on s'exerce à savoir si l'on sera conteur, un jour. La bouche est comme un violon ou une harpe, et plusieurs années de pratique sont nécessaires avant qu'elle ne permette à la parole de sonner juste et mélodieuse. " Christian-Marie Pons - Directeur de la Collection Regards - L'art de conter en dix leçons -
Pourquoi pas alors une seconde vie professionnelle ? Si je suis devenue conteuse...